Depuis 1944, défendre les intérêts des personnels de
l’encadrement est une évidence pour la CFE-CGC et l’ensemble des salariés
français, tant dans les secteurs privés que publics.
Avec la loi du 20 août 2008, le législateur a reformé de
manière floue et non aboutie la représentativité des syndicats tout en
reconnaissant la spécificité du syndicalisme catégoriel, sa place et son rôle
dans le dialogue social en France à tous les niveaux.
La CFE-CGC a donc voulu graver sa légitimité dans le marbre
de ses statuts : le mardi 11 décembre 2012, son assemblée générale
extraordinaire, à 96,4 % des voix, a fixé dans l’article premier de sa «
constitution » les termes de sa vocation à représenter « les ingénieurs,
cadres, chefs de service, agents de maîtrise, techniciens, assimilés, ainsi que
les VRP ». Et dans les fonctions publiques, au sens de la loi du 5 juillet
2010, la CFE-CGC représente « les personnels relevant d’un collège électoral
pris en compte pour la détermination des participants au Conseil commun de la
Fonction publique ».
Cette réaffirmation permettra à la CFE-CGC d’être
incontestée à toutes les échéances électorales professionnelles qui déterminent
sa représentativité en 2013 et au-delà et d’investir sereinement toute son
énergie dans l’action syndicale au service de l’encadrement.
Par ailleurs, l’AGE a décidé d’installer un groupe de
travail chargé d’assurer la conformité des indemnités des membres du bureau
national aux exigences de la transparence financière dans laquelle la CFE-CGC
s’est totalement engagée.
Chaque femme, chaque homme qui exerce des responsabilités,
prend des initiatives et des risques dans son activité professionnelle
continuera à se reconnaître dans une CFE-CGC toujours à ses côtés. L’AGE donne
un signe de confiance à tous les adhérents et militants pour assurer à leur
organisation sa place de partenaire social à part entière.
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