Chaque
année, 1,6 million de jeunes suivent un stage professionnel dans le cadre de
leurs études. Mais ceux-ci ne bénéficient toujours pas d’un véritable statut
dans l’entreprise.
Une
proposition de loi sur le développement, l’encadrement des stages et
l’amélioration du statut des stagiaires sera discutée au Parlement à partir du
19 février.
La
CFE-CGC demande :
•
Une gratification obligatoire pour tout stage à partir d’un mois, qui soit
croissante avec le niveau de diplôme préparé.
•
La limitation de la durée de travail des stagiaires à 35
heures.
•
La formation et la reconnaissance des tuteurs en
entreprise.
•
La garantie de réels moyens dans les établissements pour l’accompagnement du
jeune en amont et pendant toute la durée du stage.
C’est
sous ces conditions que notre organisation acceptera de valider cette
démarche.
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